Il suffit de citer en parallèle Augustin Grosselin et Abeille Léonardi (1) pour saisir la puissance de l’intuition commune de la Phonomimie(2) et du Bon Départ(3).

C’est ainsi que les enfants qui apprennent à lire et à écrire avec ces outils passent avec aisance de l’un à l’autre.

"L'idéal, pour une méthode d'enseignement pour le premier âge de la vie, c'est d'y faire concourir l'ouïe, la vue et le toucher, c'est à dire les trois sens qui sont les principaux instruments de l'intelligence et de la mémoire, et qui n'agissent dans la plénitude de leur puissance que lorsqu'ils interviennent simultanément."
"Il y a une mémoire de l’œil qui a vu le geste."
(Augustin Grosselin)

 
"Faire toujours appel en même temps aux sens de l'ouïe, de la vue et du mouvement. Ainsi la main de l'enfant sera éduquée afin qu'elle soit capable de reproduire ce que l’œil a enregistré."
(Abeille Léonardi)

Certains ont plagié leurs écrits, les ont renommés sans citer leurs sources. C’est se priver des apports de nombreuses sources d’archives.

(1) Principes du « Bon Départ » à partir des notes de Madame Bugnet, recueillies par Abeille Léonardi – 1972 (Archives Association ‘La Boîte à Lettres’)

(2) Terme créé par Louis-Augustin Bourguin, biographe de Augustin Grosselin. Notice biographique – 1870 (Archives Association ‘La Boîte à Lettres’)

(3) Bon Départ : Méthode audio-visio-motrice créée par Théa Bugnet